Machine à laver

Quoi de plus pénible que la corvée de linge sale quand on est en vadrouille à la belle saison.
Nous avons testé une solution toute simple, pratique et terriblement efficace cet été en Grèce.

Côté matos, il vous faudra un bidon étanche dans ce genre là :

http://www.decathlon.fr/bidon-30l-new-id_8306508.html

et c'est tout.
Ah si, de la lessive (à empreinte écologique limitée et faite maison en ce qui nous concerne).

On met le linge dans le bidon, on rajoute de l'eau et la lessive et on fixe le bidon sur le porte-vélos (avec des sangles).
La soleil se charge de chauffer l'eau, et les mouvements du véhicules secouent le tout.

Il ne reste plus qu'à rincer et mettre à sècher sur le fil en arrivant sur le spot à dodo du soir !
En Grèce, on mettait la "machine en route" vers 16h pour un stop vers 18h.

Y'a pas d'essorage par contre !
Ca marche super bien et on peut laver un petit peu tous les jours sans que cela soit une contrainte.

Pour ceux qui n'ont pas de porte-vélos, je pense qu'en mettant le bidon dans le coffre ou dans l'habitacle, ca doit marcher également

Merci du tuyau
Ça parait effectivement simple et sans doute efficace. Avec un peu d'imagination on doit pouvoir avoir le sèche-linge intégré

Moi j'ai une autre technique pour mes slips

Pas sûr que je vais la raconter ici    après on va se foutre de ma gueule et mal interpréter mes propos comme pour ma cuvette d'évier

Pourtant ma technique est super pratique, super efficace et me permet comme le petit poucet de retrouver ma route sur le chemin du retour

Laisse moi deviner .... tu te baignes avec des cailloux dans ton ben ...

Vz

Quasiment pareil que Vince, nous avons ça : 
http://www.compactappliance.com/WONDERWASH-Laundry-Alternative-Wonderwash-Washing-Machine/WONDERWASH.html
Mon père s'en servait un peu sur le bateau mais l'avait virée sans que je sache pourquoi. Nous l'avons prise avec nous mais ne nous sommes servi que du bidon  en mode shaker dans la caisse du porte vélos. Une journée de piste et au bivouac juste le rinçage et l'essorage à faire.
Mais la méthode penk, à base de verre pilé, et sans vouloir ouvrir de vieux dossiers, en plus d'intrigante semble intéressante...      
Guillaume.

Pour rester dans la lignée poétique et environnementaliste des toilettes sèches, j'aurais préconisé un petit tonneau de chêne avec des poignées de chanvres

VonZipper a écrit:Laisse moi deviner .... tu te baignes avec des cailloux dans ton ben ...

Roh... c'était donc juste ça....

penkalet a écrit:Pas sûr que je vais la raconter ici    après on va se foutre de ma gueule et mal interpréter mes propos comme pour ma cuvette d'évier

Trop tard !!! Alors raconte !!!

Et l'histoire de la cuvette de l'évier...

Et l'eau de lavage et l'eau de rinçage, il la jette où ???!

Bonjour
Et pour le repassage, vous faites comment?
Millepattes

Ben avec une peuglisse* à charbon !

*Ça, faut être britchon** pour comprendre.
**Ça aussi.

Moi, je me fais marrer...

Ben  ! !   moi  j'ai  :



C'est  super  bien  et  c'est la seule  machine a laver qui est contente de le  faire   ! ! ! ! ! ! ! ( quand il fait 35° a l'hombre !    )

Oui  je  sais  ça  coûte un peu  mais bon!  il faut ce qu'il faut ! !

brit a écrit:Ben avec une peuglisse* à charbon !

*Ça, faut être britchon** pour comprendre.
**Ça aussi.

Moi, je me fais marrer...

Bonjour

ça, c'est pour comprendre :

Il faisait sarre nuit ! J’étais marre-seule dans mon cagnard à pétouiller avec mon frichti quand, on tripote à ma péclette.  
Ca faisait un chnabre du diable à vous ficher la déguille ! Je commençais à avoir la grelette.
Ca y est, j’me dis ! C’est le manou qui est sorti de son cabeu et qui veut me ficher malheur !  
D’une voix grelottante, je crie : « Vous avez fini avec ce commerce, vous me donnez les étours » !
J’allais piquer une monture quand on me répond : « C’est l’facteur » ! Je lus la lettre qu’on m’envoyait. Elle venait des Britchons de Besac qui voulaient fêter le 1er mars ! « J’en ai fini de faire le tcharcot toute la sainte journée, plus de chimagrées, fini mon calvaire » !  
Ma fi, j’avais meilleur temps de bousarder tout mon amingage et de laisser pour un soir, mes cafignons dans la cavette et d’y aller.
Je finis mon poutzage, je rangeai la cocasse et les casses à côté de la couleuse ; encore un dernier coup de serpillière sur les carrons et j’ai soufflé le quinquet.
Il me fallait bider si je ne voulais pas me laisser déboquer par les autres. On avait eu de la peine à me dégrailler mais, j’allais faire une sacrée foire avec les Britchons !
Le menu que j’avais lu sur la lettre était extra ; au lieu de gnaggis avec du sourièbe ou de kneuflets cuits à l’étouffée dans le teuflet fin neuf avec des schnetzes et du griès au sirop de framboise pour le dessert, il y avait une fondue faite dans un beau caquelon ; c’était rapicolant avec une bonne couètche !
Qué vous ! On des pas des étouffes, encore moins des schnoilles, chez les Britchons !
Je me souvenais des vigaitzes que j’avais faites dans mon jeune temps ; on me donnait, suivant la saison, une poufnée de gangans ou un bouquet d’olives.
Après le pousnion, on mangeait des pistaches et on suçait des tablettes à la bise (menthe). Pis vers minuit, on rentrait souvent par grande fricasse à travers de grandes menées ou en cambant des gouilles ; c’était le bon temps !
Je n’ai pas regretté d’être allé à cette fête. Y avait toutes sortes de gens, des qui avaient des bletzes à leur culotte, des qui étaient fringués du dimanche qu’on aurait dit des gaguis.
On reste tout vigousse après des rioules comme ça !
Mais le pire, c’est qu’en rentrant dans mon pignon, j’ai trouvé tout en cupesse. Le catz en voulant s’abecquer sur un tiroir, avait fait tiesser un tablard, la peuglisse  avait dingué sur le potager ; mes chlarques dans ma bauche de tourbe.
Quand j’ai eu tout rangé, j’avais l’air d’une schlampe en mariegrayon, tellement j’étais peute à voir ; et pis encore, j’ai manqué de m’ereinter le guinglet, en ramingant mon tablard.Alors, après, je me suis mise en pantet et suis allé au pieu !

Bon honnêtement, j'ai pas tout compris. Mais c'était pour la peuglisse... à charbon pour celle de Brit qui plus est.
Millepattes

leo85 a écrit: (...) quand il fait 35° a l'hombre !

Là, on comprend que leo85 rentre d'Hispanie (cf. Astérix et et les Ibères de Soupalonión y croutón...)


Pardon leo85, je le referai plus...

Palissy

Pascool a écrit:Et l'eau de lavage et l'eau de rinçage, il la jette où ???!

Ben "il" la jette au camping le soir, si "il" va au camping, ou dans le réservoir d'eau usée si "il" reste en sauvage, ou dans une aire à gros blanc si "il" passe devant.

Je ne la jette pas dans la nature, si c'est ça la question. On ne jette même pas l'eau des pâtes !